The following guiding questions are aligned to each of the three main Leadership Dialogues planned for the Stockholm+50 meeting and will be integrated into the overall consultation agenda and report. Please refer to the question number in your comment.

LD2: Achieving a sustainable and inclusive recovery from the coronavirus disease (COVID-19) pandemic:
 

  1. What are the most promising sustainable and inclusive recovery practices currently being applied by public, private and civil society groups at individual, community, city, regional, country level? And how could we scale them up?
     
  2. What recovery and pre-existing practises need to be changed to ensure an inclusive and sustainable recovery?
      
  3. How do we ensure that all countries/communities can benefit from opportunities stemming from a sustainable and just transition?
     
  4. How can we create better performing industries and supply chains for a just transition to more sustainable economies? which sectors are most critical? 
     
  5. What are some of the commitments and “responsible” principles that need to be made by key industry sectors and by finance and investment institutions?
     
  6. What are the decent green jobs of the future?  What are the new skills needed, what is needed from business?  from government?  from academia?

Comments (6)

Massa
Massa

6. Les pratiques de relèvement les plus appliquées par les groupes privés, publics et la société civile sont les financements. En effet, les Institutions internationaux tels que la banque mondiale, a décidé d’accorder aux états des financements qui leur permettront de lutter efficacement contre la pandémie et surtout contre les conséquences qui en découlent. La première étant la pauvreté. Au niveau national, L’Etat soutient les entreprises locales en leur accordant des prêts ou en retardant l’échéance quant à leur impôt. Mieux ces impôts connaissent parfois des allègements. Au niveau communautaire, régional, et même national l’accès est mis sur la création de nouveaux emplois et la croissance des entreprises déjà existantes et tout ceci dans le but de lutter contre la pauvreté et surtout la faim.

 

Au niveau individuel, municipal et régional, l’accent est plus mis la santé notamment l’accès au vaccin, le dépistage et la recherche de cas. En créant plusieurs sites de dépistage et de vaccination sur toute l’étendue du territoire national, mais aussi la gratuité du vaccin, un effort a vraiment été fait à ce niveau.

L’éducation a également pris en compte.

L’amélioration qui peut être apportée sera certainement au niveau de l’éducation. La technique des cours à distance, les cours en ligne. En effet, dans les pays en voie de développement comme le nôtre, très peu d’apprenant dispose d’ordinateur portable qui est pourtant des éléments très importants, et même vital dans l’apprentissage à distance. Vous pourriez donc à mon sens améliorer cette partie. L’accès au financement à la jeunesse ayant des projets doit être également facilité.

 

 

7. D’après un rapport des nations unies la pandémie a causé 100 millions de personnes précipitées dans l’extrême pauvreté, l’équivalent de 250 millions d’emplois perdus, et 250 millions de personnes exposées à une faim aigüe. Pour ma part, ce qui doit être modifié est les taux d’intérêts des prêts contractés sur le plan national auprès des institutions tels que le FMI ou la banque mondiale, mais également sur une plus petite échelle, c’est-à-dire par les individus.

 

 

8. Pour ma part, pour que tous les pays/communautés puissent bénéficier des opportunités découlant d’une transition durable et juste, cela passe par une excellente communication. En effet, si tous les pays et communautés sont informés des opportunités, il y’a plus de chance qu’ils y prennent part.

 

 

9. Pour cela, il faut tourner vers l’utilisation des énergies vertes notamment l’énergie solaire. En Côte d’Ivoire comme dans la majorité des pays africains, s'il y'a bien une denrée qui ne manque pas c'est bien le soleil pourtant, il est très peu utilisé comme énergie dans les industries. Il faudrait y remédier. L’agriculture est encore pratiquée de façon artisanale. Il faudrait développer le secteur afin que les pays soient autosuffisants dans le secteur alimentaire. Raccourcir également les chaînes de production, c’est-à-dire par exemple construire des industries de transformation des matières premières en produit fini, là où sont cultivés les matières premières . L’économie du transport de ces matières premières aurait pour conséquence de faire baisser les produits sur le marché et ainsi garantir une économie plus durable.

 

 

10. L'allègement des dettes et la baisse des taux d’intérêts sont des engagements et principes qui doivent être pris par les secteurs-clés de l’industrie et par les institutions financières et d’investissement.

Je pense également que l’initiative de suspension du service de la dette du G20, pris la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président de la banque mondiale, David Malpass, il y’a un an, a porté des fruits et doit être reconduit avec l’assentiment de plus de créanciers commerciaux.

 

 

11. Les emplois verts décents de demain sont la rénovation énergétique des bâtiments, les transports, les énergies renouvelables, l’agriculture biologique et l’environnement.

L’attente au niveau des entreprises est qu’ils s’agrandissent pour qu’ils puissent embaucher plus de travailler. De plus, il faudrait qu’ils passent à l’utilisation des énergies renouvelables et réduire leurs déchets.

L’attente au niveau du gouvernement est la mise en place de microfinance avec moins de procédures pour faciliter l’accès des financements aux jeunes qui sont souvent des projets et aucun financement.L’attente au niveau du gouvernement est la mise en place de microfinance avec moins de procédures pour faciliter l’accès des financements aux jeunes qui sont souvent des projets et aucun financement. Il faut aussi que le gouvernement garantisse des emplois aux jeunes diplômés.

L’attente du milieu universitaire est la formation qualifiante. Pour moi la formation des universités est plus théorique que pratique. Il faudrait donc améliorer cela afin que quand les jeunes sortent diplômés, ils soient aussi qualifiés pour les postes qui les attendent. Il faut aussi valoriser les filières agricoles afin que plus de jeunes s’y intéressent.

 

Dominique Mieguim Ngninpogni
Dominique Mieguim Ngninpogni Moderator

Bonjour Massa, 

Merci pour votre commentaire cependant , Question 10 :

Compte tenu du fait que les pays de la G20 ne prévoient d’annulations que de manière exceptionnelle, préférant des rééchelonnements, pensez vos que cela soit une bonne idée pour les pays endettés ? De plus, une grande partie des dettes sont issues de créancier privées  pourquoi selon vous  sont-Ils retissant aux annulations ?

Henri Michel
Henri Michel

Hello ! Je suis Henri Michel, je suis un blogueur ivoirien. J’ai quelques avis à donner quant à comment parvenir à une reprise durable et inclusive de la pandémie de maladie à coronavirus ( Covid-19 ). En effet, le monde a découvert à travers cette pandémie à quel point, rien n’était acquis et que ce qu’on croyait être perpétuelle pouvait se révéler éphémère.

Ainsi, Pour répondre à la sixième interrogation (#6), je dirai que pour s’adapter à la situation de Covid-19, de multiples pratiques ont vu le jour, ont ressuscité ou se sont vu accentuer. Il s’agit entre autres du télétravail en ce qui concerne le domaine du travail. Le travail en présentiel nécessite un déplacement d’un point A, à un point B. Donc une production de gaz destructeur en cas de recours au véhicule. Ainsi donc, avoir recours au télétravail a été une pratique économique et respectueuse de l'environnement. C'est donc une pratique de relèvement durable qui a été une solution salutaire dans la période Covid-19.

Par ailleurs, les aides sociales ont été d’un apport significatif dans le relèvement durable. En effet, Ici, l’Etat ne s’investit pas assez dans les aides sociales destinées à la population en fonction de l’appartenance de celle-ci ( les artistes, les agriculteurs, les restaurateurs, les femmes et jeunes agriculteurs). On a vu avec la Covid-19, les États et les organismes internationaux venir en aide aux populations avec un programme de relèvement ( fonds covid-19, prêt pour la relève avec des taux très faible ). Si ces programmes sont pérennisés, sur toutes les populations sans qu’une seule soit mise en marge, ce serait une technique des plus prometteuses. Le relèvement durable ne peut se faire sans fonds conséquents. Pour les augmenter, il suffirait qu'un plan d'action internationale ou nationale mis en œuvre par les États ou organismes internationaux soit établi et inclus dans le budget annuel de façon pérenne.

Enfin, la Covid-19 a fait baisser la production agricole mondiale. Les peuples autochtones quant à eux, ont été d'un apport indispensable dans ce secteur pour maintenir le cap jusqu'à la reprise. Bien heureusement, l'un des secteurs où les femmes sont vivantes et productives en Cote d'Ivoire, c'est bien l'agriculture. Depuis leurs cadres de vie extremement reculés, elles travaillent à subvenir aux besoins de leurs familles et également à ceux de la population en produisant en masse des denrées saines privilégiant de ce fait le bien-être. Ainsi, elles sont le socle du développement durable, il convient de les encourager et de les accompagner. Ceci pourrait être très rentable.


Pour la question 7, je pense que l'une des pratiques de reprise et préexistantes qui doivent être modifiées pour assurer une reprise inclusive et durable reste l'agriculture. L'agriculture conventionnelle, l'agriculture primitive, celle qui ne se nourrit pas exclusivement de pesticide et d'engrais serait à promouvoir. Il faut favoriser une agriculture respectueuse de l'environnement et surtout bonne pour la santé. Celle qui se fait en ce moment part dans tous les sens et n'est pas très saine pour la santé et pour la terre.

Par ailleurs, Réinventer l'utilisation du plastique. A mon avis, Il faut non seulement penser à éradiquer totalement l'usage du plastique meme si cela parait utopique car son utilisation est nécessaire, mais il faut essayer quand meme et également sensibiliser la population à la réutilisation et au recyclage. Au moins, si on en produit moins, à défaut de l'éradiquer, on peut en maitriser les dégats.

8- pour que tous les pays/communautés puissent bénéficier des opportunités découlant d'une transition durable et juste, il faudrait maximiser l'information. Aujourd'hui grace au géant internet, tout est devenu possible. En Cote d'Ivoire, on connait l'impact qu'une campagne digitale peut engendrer. Ainsi,  Avoir recours aux médias conventionnels, aux blogueurs, aux influenceurs, aux chaines de télévision, à la presse écrite, aux publicaions officielles pour ne citer que cela pourraient etre un excellent moyen de communiquer pour que personne ne soit mis de coté.

9- la création de nouvelles industries soucieuses de l'environnement encourage la prise de conscience des populations. Il faut se focaliser sur les industries qui n'ont pas recours aux pratiques durables a travers leurs fortes émissions de gaz toxique. Il convient de proposer la transition industrielle comme agricole pour produire de façon respectueuse. Il faut aussi accompagner cette transition par un investissement conséquent. modifier la structure d'une industrie coute cher.

Les secteurs les plus critiques sont celui du transport donc les véhicules ( accompagner dans la mutation des véhicules en favorisant les véhicules hybrides ou électriques. Idéalement produire des véhicules écologiques en Cote d'Ivoire et leurs donner un cout raisonnable.

10- Les engagements et les principes "responsables" qui doivent etre pris par les secteurs clés de l'industrie et par les institutions financières et d'investissement sont :

une politique de réduction des importations et de promotion de la production locale, réduire l'émission de gaz destructeurs, inclure une politique de respect de l'environnement dans tous les secteurs industrielles, financer et accompagner de façon pérenne les structures qui souhaite passer à l'écologie, faire voter des lois aux parlements. Il faut un cadre juridique à tout ça. 

Pour la question 11 , j'ai envie de dire les propositions sont larges. On peut citer comme emplois verts décents de demain : les transports avec des véhicules a énergie solaire, les énergies renouvelables, l'agriculture biologique, les éco entreprises de construction et de réhabilitation, les métiers favorisant le recyclage, les métiers de transformation de déchets, les métiers de rénovation thermique des batiments, les metiers en rapport avec la viabilité des héoliennes mer/terre etc...

Au niveau du gouvernement et des entreprises, l'attente serait qu'ils donnent un cadre légal, obligatoire et répressif à l'application ou à la non-application de ces procédés. j'insiste sur le volet répressif surtout. 

L'attente du milieu universitaire est la formation qualifiante. Il faut former dès le plus bas age a adopter des gestes respectueuses de la planète. Si aujourd'hui les gens s'inquiètent très peu de la planète c'est certainement parce qu'ils en ont pas saisit l'importance depuis le temps de la formation. 

En somme, tout le monde a sa partition a jouer dans cette histoire d'environnement. Il serait convenable que nous tous, nous nous y mettions de gré ou de force avant qu'il ne soit trop tard.

Dominique Mieguim Ngninpogni
Dominique Mieguim Ngninpogni Moderator

Bonjour Mr Henri Michel

Merci pour vos réponses enrichissantes, ; Pensez vous que l’agriculture primitive pourrait pallier aux besoins des populations au regard du fait que que de nos jours nous avons des boums démographiques et par conséquent une plus forte demande? 

Henri Michel
Henri Michel

Dominique Mieguim Ngninpogni ! J’espère que vous allez bien. Oui, il est bien vrai que le monde subit un boom démographique et l’Afrique particulièrement la Côte d’Ivoire ne reste pas en marge. Mais ce qu’on a tendance à oublier c’est qu’il y a énormément de terre cultivable. Il suffit juste de faire un tour à l’intérieur du pays pour en être persuadé. Si nous devons arrêté l’agriculture chimique, il faut qu’il y ait suffisamment de terre pour étendre sa culture. A ce jour, la Côte d’Ivoire en est capable. Certainement vous me direz dans quelques années ça ne sera plus possible. Effectivement si ça arrive, dans ce cas, on pourra envisager cette agriculture que je surnomme « problématique» en essayant de réduire sinon de maîtriser sa destruction.

Massa
Massa

Bonsoir Dominique, je reste persuadé que c’est une bonne idée en prenant l’exemple de la république du Soudan. Rappelons-le, le Soudan est l’un des pays, les plus pauvres et les plus endettés d’Afrique, qui grâce à ces mesures a pu sortir la tête de l’eau et enfin rembourser ses arriérés.

 

 

Pour répondre à ta deuxième question, je dirai tout d’abord que c’est dans l’ordre normal des choses que lorsqu’on vous prête de l’argent, vous remboursiez cette personne. Ensuite, des annulations feront perdre à coup sûr des profits aux créanciers privés. Cependant, si les institutions telle que la banque mondial ou le FMI pouvaient garantir aux créanciers privés, des profits alors je pense qu’il serait moins retissant à l’idée des annulations. Pour finir, les taux d’intérêts des prêts doivent être vraiment revus à la baisse.